
🎙 Ce matin sur Sud Radio Cécile de Ménibus recevait Luis Godinho : permanence audio, fin du confinement…
À écouter : https://www.sudradio.fr/emission/la-vie-en-vrai-320/#Covid19 #audition #audioprothésistes
Le fichier vocal est téléchargeable ici :
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Tu entendais, sans écouter la télévision en consultant ton portable… tu ne te rappelles pas de la demande de ta copine de ranger la vaisselle… Ou encore toi, qui t’es toujours posé la question de pourquoi tu as autant de mal à faire plusieurs choses en même temps…
Et bien l’attention, en particulier auditive entre en oeuvre et son manquement explique les difficultés de perception et de mémorisation que tu as rencontré ou que tes patients malentendants ont perçu !
L’attention est souvent confondue avec la mémoire. Quand on fait attention à un stimulus auditif (ou autres), on le place automatiquement en mémoire de travail. C’est le lien entre hippocampe et amygdale.
On pense par erreur que l’attention auditive est un processus cognitif unitaire. Et bien, on a tout faux ! L’attention s’appuie sur plusieurs processus entrelacés les uns aux autres.
Les chercheurs en neuroscience ont découvert que l’attention n’est pas un seul processus, mais plutôt un groupe de sous-processus attentionnels. La modélisation la plus solide pour décrire les sous-composantes de l’attention est le modèle hiérarchique de Sohlberg et Mateer (1987, 1989).
IL existe plusieurs sous composantes :
évidemment, quand on veut définir un terme, on consulte son Wikipédia let voici sa réponse :
L’attention est la faculté de l’esprit de se consacrer à un objet : d’utiliser ses capacités à l’observation, l’étude, le jugement d’une chose quelle qu’elle soit, ou encore à la pratique d’une action.
La pleine attention est exclusive, du fait qu’on ne peut réellement porter son attention que sur un seul objet à la fois, même si on peut parfois avoir le sentiment inverse (en cas de danger nécessitant une hypervigilance et/ou si l’un de ces objets ne requiert pas d’attention)
Le cerveau filtre et va porter attention de plusieurs façon en fonction :
Certes les deux définitions précédentes renvoient l’attention à un événement souhaité, mais imaginez-vous dans un bureau sans un bruit quand tout à coup votre collègue au téléphone raconte à un de ses amis comment s’est déroulée sa soirée. Vous savez maintenant qu’il a adoré ce nouveau restaurant malgré les prix un peu élevés. Mais avez-vous choisi de prêter attention à ces informations ou ces informations vous sont-elles parvenues de manière involontaire ?
Et c’est en ça que s’accordent nombre de chercheurs en sciences cognitives. En effet, on ne choisit pas forcément le stimulus auquel on porte immédiatement attention.
Et c’est maintenant que vous comprenez l’intérêt de mon écrit et qui va vous retourné le cerveau : mon patient appareillé qui se plaint de ne pas comprendre dans le bruit avec ses aides auditives de dernières générations a-t-il ou n’a-t-il pas un problème attentionnel qui altère sa compréhension dans le bruit (avec réduction de la ségrégation en signal utile ou non utile) ou a-t-il un un soucis d’audition qui l’empêche de porter attention ^^?
On parle souvent de RSB, mais finalement ce qui est un bruit pour l’un, ne l’ai pas pour l’autre !
En 1953, Colin Cherry, a étudié notre capacité à porter attention dans le bruit (au passage il faut imaginer que ce phénomène purement auditif a permis d’éclairer la façon dont le cerveau isole un stimulus parmi les stimuli).
Cherry a étudié la capacité du cerveau humain et a utilisé des tests dichotiques pour tester ses sujets d’étude, au lieu d’utiliser des tests de compréhension dans le bruit.
L’attention portée à une oreille entraîne un meilleur encodage des messages qui lui parviennent car nos ressources attentionnelles vont sélectionner l’information qui nous est pertinente et essayer d’inhiber au mieux ceux qui ne nous intéressent pas.
Oui et non, mon capitaine. L’attention est multifactorielle :
Nous sommes continuellement exposés à un flux de stimuli que nous ne pouvons pas contrôler. Pour éviter de surcharger la mémoire de travail, les ressources attentionnelles vont filtrer les informations de notre environnement. Et prendre celles qui nous sont pertinentes (l’effet Cocktail party). On parlera ainsi d’attention sélective.
« Mais bien sûr que je peux travailler et écouter de la musique en même temps ! Je suis pas un naze ! »
Vous n’avez jamais essayé ? Et bien c’est l’occasion. Dans ce cas de figure, les ressources attentionnelles sont réparties, distribuées dans un « ensemble limité » de stimuli intéressants de façon non proportionnelle.
Dans ce cas de figure, le concept représenté est celui de l’attention divisée parce qu’on répartie les ressources attentionnelles sur plusieurs stimuli. Cependant, rappelons que les ressources attentionnelles sont elles-mêmes limitées. Ainsi il sera d’autant plus dur de se concentrer qu’il y aura de stimuli. Le cerveau va augmenter sa charge mentale et à terme, selon l’individu va porter son attention sur l’un des signaux.
C’est ce que le malentendant éprouve lors de la réhabilitation auditive : cette incapacité (capacité perdue ou oubliée) temporaire à porter attention à 2 stimuli (surdité moyenne ancienne).
L’art de l’audioprothésiste est de pouvoir réhabituer à force de port de l’appareil, bien réglé, le patient à ségréguer 2 signaux et à recréer une attention sélective.
Imaginez que vous soyez en train d’écouter l’oncle Fred raconter son année (ça fait depuis 9 mois que vous ne l’avez pas vu, imaginez tout ce qu’il a à raconter).
Vous êtes à l’aise dans un premier temps mais vous focaliser sur son discours malgré les notifications vibratoires de votre smartphone. Vous êtes en train de maintenir un état de concentration qui se traduira par de la fatigue. On parlera ainsi d’attention soutenue car vous maintenez un « niveau d’efficience élevé et stable sur une longue période de temps » (Seron et Liden, 2000).
C’est le Jour du grand oral d’audioprothèse . Vous êtes dans les starting-block. Votre préparation et votre attention sont aux firmaments. On parle d’état d’alerte, il nous est possible de nous préparer en un peu moins d’une seconde à répondre aux moindres questions : notre attention est maximale.
Les chercheurs Van Zomeren & Brouvwer (1994) ont par ailleurs proposé un modèle attentionnel, qualifiant l’attention de pré-requis à toute autre fonction cognitive car elle en permettrait le bon fonctionnement :
Lors des premiers de l’appareillage auditif, il est nécessaire de se concentrer, de faire un certain nombre d’efforts pour traiter la nouvelle information qui est portée à mon intention. Mais avec l’entraînement on devient de plus en plus expérimenté et capable de séparer l’information utile, de l’inutile.
Entendre et comprendre devient de plus en plus simple avec mon aide auditive, avec pour objectif d’entendre « inconsciemment » (moins d’effort d’écoute), sans intellectualiser l’effort.
Nos différents processus attentionnels sont classés en deux « modes » : On parle d’orientation : endogène et exogène.
Vous l’aurez bien compris, prêter attention à un stimulus (de manière volontaire ou non) nécessite d’abord de le percevoir (ce que l’audioprothésiste va s’atteler à améliorer ou à compenser).
il est saillant de constater que Cherry utilise les tests dichotiques pour tester les capacités d’attention sélective. Si vous souhaitez la tester, n’hésitez pas à le faire temps, chez vos patients compliqués ou systématiquement et à évaluer leurs capacités tous les 1 ou 2 ans.
Les tests dans le bruit sont l’alpha et l’oméga :
La passation de questionnaire sur l’effort d’écoute permet d’évaluer lors du bilan d’orientation prothétique l’état de l’attention portée et de l’estimer dans le temps.
A vous de jouer !
Blog Akiani https://blog.akiani.fr/fait-on-assez-attention-a-l-attention/
Masson, M. (2011). Rééducation des processus attentionnels : approche sur simulateur de conduite : application au traumatisme crânien et au vieillissement normal (Thèse de doctorat). Université Claude Bernard – Lyon I. PSYCHOLOGIE COGNITIVEUX RESEARCH
Alhanbali S, Dawes P, Millman RE, Munro KJ. Measures of Listening Effort Are Multidimensional. Ear Hear. 2019 Sep/Oct;40(5):1084-1097. doi: 10.1097/AUD.0000000000000697. PMID: 30747742; PMCID: PMC7664710.
Au passage, un lien ténu de l’effet cocktail party dans le traitement de l’information qui vaut le coup d’être vu 🙂
Encore un billet sur le collège de France… me direz vous ! Oui, mais pas n’importe lequel ! Plus que 4 jours avant la leçon de Clôture du Professeur Christine PETIT qui termine 17 ans de présence dans les hauts lieux de la connaissance initiée par Francois 1er : carrefour des sciences en cours de développement et non instruites à l’Université.
Cet événement aura lieu à huis clos, COVID oblige.
Pour plus d’infos : https://bit.ly/3nrAy5H
Ajouter son agenda le cours de clôture : https://bit.ly/3kwr2MQ
Des puits de sciences, ça ne courent pas les rues ! Et quand vous en croisez un, et qui plus est, qui déborde d’informations audiologiques, cela ne vous laisse pas indifférent !
Grâce à ENTENDRE, ma coopérative, chaque année, le Professeur Paul AVAN nous instruit d’une thématique auditive chaque année. Il arrive à renouveler notre intérêt sur un sujet que nous connaissons : l’audition, sous différents angles.
Au gré de mes pérégrinations en ligne, j’ai découvert les cours du collège de France dédié à la génétique et à la neurobiologie de l’audition, portés par le Professeur Christine PETIT. Pour ceux d’entre vous qui connaissent cette institution, nous sommes au coeur de la connaissance à la Française et de son rayonnement International.
Ainsi une chaire (temporaire, plus au moins 5 à 10 ans selon les thématiques) a été confiée au Pr C. PETIT, au début des années 2010, afin de mettre en avant la science de l’otoneurologie. Depuis cette date, nous pouvons retrouver annuellement les videos et podcasts des cours égrainés année après année ( et c’est ici : https://bit.ly/2H3LIOp)
Vous y trouverez l’objet initial de mon article, une vidéo sur le fonctionnement des aires auditives supérieures présentée par le Professeur PAUL AVAN, un rappel pour certains, une découverte pour d’autres (à destination de mes étudiants de première et deuxième année de l’école Lilloise d’audioprothèse 🙂 ) !
basé sur un article de Jennifer Schumacher, AuD
Pourquoi l’affichage simulé dans le logiciel d’ajustement ne correspond-il pas à la sortie réelle dans l’oreille de mon patient ? ou quel est l’intérêt de récupérer cette valeur essentielle pour nos fabricants.
La question qui évidemment vous turlupine et vous empêche de trouver le sommeil. Elle est là, brute, juste en dessous :
Lorsque je crée un nouvel appareil auditif pour un patient, pourquoi l’affichage simulé dans le logiciel d’appareillage ne correspond-il pas à la sortie réelle dans l’oreille de mon patient ?
source anonyme
La réponse a été maintes fois évoquée sur ce blog : REUG et RECD expliquent les écarts recueillis entre la réalité au tympan et la simulation fournisseur, mais un article Américain m’a permis de mettre en exergue une valeur passée un peu inaperçu et qui a un acronyme assez effrayant : le CoRFIG (avec un petit « o » s’il vous plait).
Grosso modo, il ressemble à ça :
Nous comptons évidemment sur notre logiciel fournisseur pour nous donner une « image » la plus réaliste de ce qui se passe au fond de CAE.
Il est évident qu’en « nourissant » mon logiciel fournisseur de donner complémentaire, la représentation graphique d’un gain d’insertion ou d’un niveau de sortie sera plus fidèle à la réalité.
Il est donc important de préciser que les logiciels de fitting sont un grand raccourci qui peuvent s’appuyer que sur un audiogramme tonal liminaire en circumaural. C’est un processus rapide et automatisé, et il est facile pour les audioprothésistes débutants de supposer que ce que vous voyez à l’écran représente ce que l’aide auditive fait réellement.
Le logiciel fournisseur utilisent de multiples algorithmes et hypothèses pour créer la simulation (comportement de l’audioprothésiste par exemple), qui peuvent différer considérablement de la pression acoustique délivrée au tympan.
Plusieurs études ont montré que l’ajustement des écrans logiciels diffère de la sortie mesurée dans l’oreille.
En général, la plus grande déviation par rapport au gain simulé ou aux cibles est mesurée dans les hautes fréquences (2-4 kHz) et est en réalité inférieure à ce qui est prédit par le logiciel d’ajustement, jusqu’à 10 dB ou plus (Hawkins et Cook, 2003; Aazh et Moore, 2007; Sanders et al, 2015). Ce phénomène peut être facilement vérifié en regardant les différences de courbes de réponses en insérant le REUG et le RECD.
De plus, la sortie mesurée pour les entrées plus douces peut être inférieure aux cibles prescrites, tandis que les entrées plus fortes peuvent être supérieures aux cibles prescrites (Sanders et al, 2015).
Prenons un exemple : X a une perte auditive neurosensorielle en pente bilatérale et sera équipé binauralement de dispositifs intra-auriculaires utilisant des récepteurs de puissance moyenne. Sa perte auditive est très similaire aux pertes auditives utilisées dans les études citées ci-dessus et est bien sûr très fréquemment observée chez les patients porteurs d’aides auditives.
Dans le sens le plus simple, le logiciel fournisseur s’appuie sur les seuils de tonalité pure de X pour calculer le réglage (n’oubliez pas que les cibles de NAL NL2/DSL v5.0 des fabricants différent également).
Le résultat est un ajustement simulé avec des courbes cibles prescrites pour chaque niveau d’entrée et le gain correspondant aux cibles actuellement définies dans l’aide auditive. Il s’agit du raccord par défaut, et il est affiché ci-dessous dans la figure 2:
L’affichage est aussi bon que «moyen»…
La vue par défaut pour l’ajustement de X est le gain d’insertion, qui simule le gain de l’appareil en plus du REUG. Les fournisseurs par défaut utilisent soit le gain d’insertion, soit une vue de sortie simulée.
Les mesures et la vérification d’une aide auditive chez le fabricant sont toutes effectuées à l’aide de coupleurs : calcul du gain d’insertion ou de la sortie par exemple.
Et pour effectuer le saut entre le gain du coupleur et le gain d’oreille réel simulé, une conversion doit avoir lieu. Et nous voila nez à nez avec notre fameux, l’objet de notre article, le CoRFIG, ou Coupler Response for Flat Insertion Gain (Killion & Monser, 1980).
CoRFIG comprend trois grandes variables. Ces variables sont le gain étymotique (REUG), l’effet de localisation du microphone (MLE) et la différence entre l’oreille réelle et le coupleur (RECD) (Killion et Monser, 1980; Mueller, 2001).
Donc, CoRFIG = REUG – RECD – MLE = Gain au coupleur 2cc – REIG
Killion & Monter, 1980
Bien que la définition de CORFIG soit standardisé dans l’industrie, la façon de les obtenir ne l’est pas (Fabry, 2003).
Les CORFIG peuvent être calculés à l’aide de données standardisées publiées ou mesurés à l’aide de KEMAR ou d’un groupe de sujets humains. Il n’y a pas nécessairement un ensemble standard de datas ou de techniques de mesure utilisées et partagées par tous les chercheurs et les fabricants. Ce qui, avouez le, est quand même problématique. Je sens la tension montée chez toi, lecteur/trice.
Cela signifie que chaque fabricant d’aides auditives utilise sa propre implémentation de CORFIG ! Ceci est clairement illustré sur la figure 3, où le CORFIG a été extrait pour six aides auditives de différents fabricants avec écouteurs déportés (HP de faible puissance).
Chaque aide auditive a été programmée avec le même gain d’insertion de 20 dB, puis la sortie a été mesurée dans un coupleur 2 cc. En soustrayant les 20 dB de gain d’insertion, nous nous retrouvons avec le CORFIG.
Même lorsque vous utilisez des aides auditives similaires, il y a jusqu’à 14 dB de variation entre les fabricants aux fréquences les plus basses et les plus élevées mesurées, et 10 dB de variation à 3150 Hz.
Comme il s’agit de RITE avec écouteur de faible puissance, nous pouvons supposer qu’ils seront probablement adaptés avec des dômes ouverts, dans ce cas, cela signifie qu’il y aura encore plus de variabilité autour de 2-4 kHz, selon le REUG individualisé.
Le CORFIG utilisé par les méthodologies (les grandes NAL/DSL et les propriétaires) diffère également😅😅😅😅😅😅.
Lorsqu’un fabricant inclut méthodologies tierces dans son logiciel, il doit utiliser un CoRFIG, qui est probablement celui qui a été développé en interne, car les informations CoRFIG tierces ne sont pas toujours disponibles (et ouaip !). Je vois lecteur/trice que la grosse veine du front bat à une cadence infernale !
… Et ce n’est que le début !
Le CoRFIG est l’une des variables qui explique l’écart simulation fabricant/réalité fond de CAE. Il y en d’autres qui ne sont pas pris en compte.
Par exemple :
En conclusion
Il est nécessaire de prendre avec du recul les simulations fournisseurs, en l’analysant comme la résultante d’une somme de variables moyennées (CoRFIG, REUG, RECD, MLE).
Les CoRFIG de vos logiciels préférés peuvent en plus changer sans que vous le sachiez, ce qui peut rendre sans mesures en fond de CAE, les renouvellements laborieux (on peut penser que les outils de transferts de réglages conservent les CoRFIG ou mesures les écarts avec les nouveaux).
De même, les méthodes de réglages utilisent des CoRFIG qui peuvent différer de ceux utilisé par vos fournisseurs 🤯.
Il est donc essentiel de corriger les logiciels fournisseurs en intégrant les REUG et RECD. A noter que certains logiciels mesurent le MLE.
Alors, en fin de compte, cela nous amène à au fils rouge de ce blog, mesurez les valeurs vous gagnerez du temps et des certitudes !
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Références
Aazh, H. & Moore, BC (2007). La valeur de la mesure de l’oreille réelle de routine du gain des aides auditives numériques . Journal de l’American Academy of Audiology, 18 (8), 653-664.
Fabry, D. (2003) .Aides auditives non linéaires et vérification des objectifs d’ajustement. Trends In Amplification, 7 (3), 99-115.
Hawkins, DB & Cook, JA (2003). Valeurs de gain prédictives des logiciels d’aide auditive: quelle est leur précision? Journal d’audience, 56 (7), 26-34.
Killion, MC et Monser, EL (1980). CORFIG: réponse du coupleur pour un gain d’insertion plat. Dans Acoustic Factors Affecting Hearing Aid Performance , GA Studebaker et I. Hochberg (éd.) Baltimore: University Park Press.
Mueller, HG (2001). Mesures sonde-microphone: 20 ans de progrès. Tendances d’amplification, 5 (2), 3-39.
Mueller, HG & Picou, EM (2010). L’enquête examine la popularité des mesures sonde-microphone à oreille réelle. Journal d’audience, 63 (5), 27-32.
Sanders, J., Stoody, T., Weber, J. & Mueller, HG (2015). Les raccords NAL-NL2 des fabricants échouent à la vérification réelle. Révision de l’audience, 21 (3), 24.
Les instances ont parlé hier via le canal de l’Ouïe. La Visio a, je l’espère était suivi un maximum. des pans entiers, relatifs aux déconfinements, ont été abordés par les responsables des instances les plus représentatives de la profession.
Vous retrouverez une synthèse écrite des recommandations et des idées proposées par l’#UNSAF et le #CNA pour ceux ou celles qui n’ont pas le courage de revoir l’intégralité de l’interview : https://bit.ly/2KMqOBE
Je retiendrais une phrase au combien concrète, il est important de soutenir le secteur de l’audioprothèse : « Perdre des audioprothésistes aujourd’hui est inadéquat avec la demande croissante qui nous attend demain ».
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Le Co Vid a bouleversé notre activité. Nous sommes tous différends face à cette crise : serein(e), inquiet(e), désespéré(e)…
Je vous propose de faire un état des lieux. connaître le moral des troupes 🙂
J’ai glissé en fin de questionnaire une question un poil politique. En fonction de vos réponses, ce questionnaire peut devenir un livre blanc pour fournir de la data pour l’UNSAF et autres instances syndicales.
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